Comment intégrer un nouveau salarié dans une entreprise ?

Intégrer un nouveau salarié consiste à préparer  toutes les démarches utiles et nécessaires pour l’accueillir au sein d’une entreprise. Une procédure engagée a priori avant d’être officiellement investi du pouvoir convenu. Une procédure qui s’ensuit après avoir mené à bien un recrutement, tant à l’égard  du nouveau venu qu’à celui de l’entreprise. Et il appartient à l’entreprise de prendre en main le soin de l’intégrer tout bonnement comme il se doit. Il faut anticiper pour bien intégrer le nouveau venu. Une coutume, librement incluse ou non dans le règlement intérieur ou la convention collective. Plus tard, elle est  devenue effective un peu partout pour faire bonne impression, pour expliquer la culture et les objectifs de l’entreprise, donner une meilleure image de l’image à son égard.

Les préparations nécessaires  en amont

En amont, avant d’intégrer le nouveau salarié, il est primordial de prévoir et lui attribuer tous les matériels et accessoires utiles et nécessaires pour le bon déroulement de son travail. Tel un poste de travail, les ordinateurs pour les salariés travaillant au bureau, un bureau suffisamment décoré, bien meublé et bien installé, un environnement ambiant, conforme aux normes de la salubrité et de l’hygiène. Ensuite, celle-ci requiert de définir la personne idéalement responsable de faire tout le nécessaire pour arriver à cette fin. Cette personne doit être nécessairement le collègue avec lequel il va collaborer de proximité tout au long du parcours professionnel dans l’entreprise.   Aussi, cette dernière doit lui servir de guide pour la visite de l’entreprise pour se familiariser avec le style de vie au sein de l’entreprise. En outre, il faut penser à organiser divers événements professionnels afin de mieux lui intégrer.  Tels les petits déjeuners et cantines cordiaux pouvant faciliter des échanges être lui, ses co-collaborateurs et son employeur. Enfin, il faut prévoir une  variété et personnalisation d’intégration, sans pour autant être jugée discriminatoire, selon chaque salarie nouvellement recruté.

Ce qu’il faut éviter pendant ladite intégration

De mauvaise intégration peut impacter négativement la production, son efficacité et son efficience. L’humeur, le dynamisme, la proactivité, l’enthousiasme au départ peuvent diminuer au fur et à mesure. Ce qui suscite un  désagrément de la part du collaborateur nouvellement intégré.  Ce qui par la suite peut causer un départ précoce, démission volontaire avec ou sans préavis. Ce qui sera loin d’être avantageuse pour  l’entreprise si la mauvaise intégration devient récurrente. De ce fait, l’entreprise pourra bénéficier d’un gain de temps, une image bien recommandable, plus de créativité et de performance dans la réalisation des objectifs poursuivis. Tout l’intérêt de bien mener ladite intégration.

Les préparations nécessaires  en aval

Tout d’abord, l’entreprise doit opter pour une formation professionnelle régulière. Celle-ci doit être en fonction de la qualité de chaque salarie nouvellement recrute.  Il y a celui qui est débutant en la matière et qui aura quelques difficultés à être opérationnel de suite. Et il y a celui qui est déjà expérimenté et se trouve apte de suite pour effectuer à bien ses obligations professionnelles. Ce qui n’empêche pas à l’entreprise de donner régulièrement au nouveau venu une formation même pour améliorer ses savoir-faire et son développement personnel. Ensuite, lui mettre à l’épreuve grâce à un essai pendant une certaine durée légalement admise qui est sous contrat CDD ou CDI. Par la suite, renouveler l’essai si celui-ci  est jugé concluant pour l’entreprise. Enfin, tout au long de son parcours professionnel au sein d’une entreprise, pour éviter la routine et le stress, elle doit lui faire participer à différentes activités para-professionnelles.  Comme la participation à des activités sportives, etc., organisées par elle.

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